Ce qui s’est exprimé ce 10 septembre est un rejet total de toutes les politiques d’austérité subies depuis des années. Les personnels et les jeunes y ont pris part massivement. Ils n’acceptent pas les milliards de coupes budgétaires contre les services publics, contre la Sécurité Sociale, contre les salaires. Ils n’acceptent pas la marche à la guerre.
Le premier ministre Bayrou est tombé. Son budget doit partir avec lui.
En nommant l’ex-ministre des armées au poste de chef de gouvernement, le président Macron s’enfonce dans le mépris, le refus d’écouter les revendications, pour aggraver l’austérité pendant que les crédits militaires explosent et que les actionnaires et les plus riches se gavent.
Nous ne voulons pas de leur budget de guerre, même renégocié ou raboté…